Torino se réveilla en sursaut. Un nain venait de le réveiller.
-que se passe t-il ? S’enquit Torino
-maître nain, dit l’autre, « ils » sont là.
C’était bon. « Ils » étaient là. Un cavalier se tenait droit sur la colline d’en face.
-garde, réveillez Eragon.
-Ce cavalier est seul.
-Non « ils » sont là.
En effet, 20 000 homme étaient en mouvement. L’armée de Ravtal « l’ombre de nulle part » avançait sur l’armée d’Eragon.
Eragon était à la tête d’une armée de 2000 hommes. Tombés dans une embuscade d’un ombre, Ravtal venu d’un pays lointain, de l’autre coté du Du Weldenvarden. Depuis la troupe ne compte que 315 soldats. L’ombre, lui, a amené les soldats de toutes race de son pays : des orques, des trolls, des géants, des ogres et encor beaucoup d’autre. En tout, s’étendait de l’autre coté de la colline, une marée d’au moins 20 000 hommes près à tout pour prendre l’Alagaësia. Eragon savait que lui et ses hommes étaient le dernier mur. Après, l’armée s’éparpillera et écrasera tout le monde. Eragon s’avança devant tous ses hommes en compagnie de Saphira.
-Soldats ! L’heure est venue de nous venger même si nous devront y laisser la vie !
Les soldats avaient tous peur, une peur qui les faisaient trembler, qu’ils ne puissent cacher sous leurs heaumes. Beaucoup voudraient partir, mais ils restaient, déterminés.
- sur nous s’avance une armée de 20 000 monstres hideux, puissants. Ils nous dépasseront peut être en nombre et en force, mais nous avons un millions de pauvres gens qui ne pourront attendre que la mort après cette défaite ! Et parmi eux, il y a vos femmes, vos enfants ! Vous n’avez pas le droit de perdre cette bataille comme vous n’avez pas le droit de perdre votre famille.
Pendant qu’il parlait, pendant que les sourires et le courage montaient au Têtes des soldats, une ligne noire apparue dans l’horizon. Elle s’élargissait rapidement levant un nuage de poussière au dessus. Des taches noires s’élevaient dans le ciel.
-on ne peut plus reculer.
L’armée recouvrait la colline est fut bientôt à portée de magie de Eragon. Alors il leva le bras et murmura :
-Brinsigr !
Aussitôt, un halo bleu propulsa une trentaine de monstre en l’air. Une volée de tache noire –des flèches- se leva.
-Letta orya thorna !
Le sort jeté, les flèches retombèrent sur le sol et furent vite écrasés par les lourdes bottes des soldats ennemis.
-Rïsa !
Les flèches restantes s’élevèrent au niveau de la taille et se plantèrent dans le corps des monstres trop pressés. L’avant de l’armée s’écroula progressivement et se fut la même chose lorsque les flèches de l’armée d’Eragon sifflèrent autour d’eux.
Eragon en accélérait certaine pour leur permettre de transpercer plusieurs soldats. Eragon se remit dans les rangs et prononça plusieurs fois « Brisingr ». Des champignons bleus envoyaient des monstres ça et là.
La horde de monstre ralentissait. Eragon leva Zar’roc :
-c’est le dernier jour de nos vies ! Mais pas celui de l’Alagaësia !! Battez vous ! Il vous suffirait chacun de battre euh il réfléchit puis son visage changea. Il venait de briser son espoir.
-il faudrait reprit-il que chacun d’entre nous batte plus de 60 monstres.
Tous les regards se baissèrent.
Eragon se rattrapa en parlement calmement
-tu ne laisseras jamais ta femme, Ogrine.
-non soupira le nain
-et toi, nofim ?
-oh que non. Pas pour eux !
-alors levez vos têtes ! Levez tous vos têtes ! Nous nous battons pour ce qui nous est chère ! Aujourd’hui, beaucoup de souffrance et de sang couleront ! Que se ne soit pas celui de l’Alagaësia !!
-A mort démons !!!
Sur ce, il couru vers l’ennemi, suivit par ses hommes déterminer à renvoyer ces monstre là où ils venait : l’enfer.
Les monstres ennemi riait de voir si peut d’homme venir à eux. Mais lorsque l’armée des hommes montrait leurs trébuchets, paraissaient plus coriace, les visages diversifiés –et souvent hideux- des monstres se durcirent. Leurs gambes ne les tenaient presque plus, tremblante et pour certain, couvert de poils hérissés. Les lourds balanciers des trébuchets s’abaissèrent d’un coup projetant des boulets qui écrasèrent les ennemis. Un chef ennemi gueula :
-voyons ! N’eyez pas peur ! Vous avez avec vous 20 000 soldats ! Contre 300 !
Le moral remonta. Fffrrrrr la bataille ne pouvait s’éviter. Fffrrrrr les deux armées se rapprochaient. Fffrrrrr Eragon et les autres couraient vers la mort.
Tout arriva vite. Les deux armées se sont confrontées projetant les adversaires par-dessus les boucliers.
*Saphira ! C’est à toi !*
*Je ne peux pas !*
Eragon leva les yeux. Des monstres –deux paires d’ailes sur une queue- attaquaient Saphira qui les rejetait de sa queue.
*Saphira veux tu arrêter de jouer !*
*comme tu veut*
En enflamma les monstres qui volaient encore.
*qu’est ce que c’est que ses monstres ?*
*Ils ne résisteront pas longtemps.*
Saphira plongea sur l’armée et enflamma une ligne de soldat arrêtant la marche des autres.
*bien jouer !*
Eragon se battait si bien que ses ennemis reculaient. Il lui suffisait d’un coup d’épée pour abattre cinq hommes. Et un mot pour en éjecter trente. Mais il restait bien 15 000 monstres devant eux qui franchissaient le mur de braises restante. Le feu s’est éteint trop vite. Torino, le chef nain faisait tourner sa hache autour de lui pour abattre le plus de monstre possible. En vint. Les monstres revenaient toujours plus. Il rejoignit Eragon pour se battre à ses cotés. On ne peut plus rien. Seul une vingtaine de nous ont survécu. Les larmes commencèrent à mouiller les joues d’Eragon.
*Saphira, on est perdus.*
*faisons alors de notre mieux. Peut être à dieu Eragon*
*Saphira qu'est ce que... non! Saphiraaa! ni va pas je... *
il se calma. saphira ne se retournait pas.
*je t'aime Saphira.*
*je t'aime aussi, peutit homme*
Elle plongea sur les monstres qui lui plantèrent des lances dans les ailes. Une atteignit le cou. La dragonne s’effondra.
-Saphiraaaa !
Poussé par la rage, Eragon fit une traversée grâce à ses pouvoirs mais fut vite entouré. Eragon ne lâchait pas. Il se battait férocement arrachant tout sur son passage. Il eu bientôt la triste impression d’être seul. Les monstres étaient tous autour de lui. Il descendit un troll le tranchant de haut en bas. Même Saphira ne répondait plus. Le son d’un cor résonna entre les collines. Les monstres se tournèrent vers le cavalier de la colline et s’éloignèrent au pas de course. Eragon jeta un regard sur les cotés. Il n’y avait aucun survivant. Torino avait succombé. Il porta son regard sur une masse imposante bleu brillant.
-Saphira !
Il s’approcha en courant. Elle ne respirait plus. Il s’allongea sur elle est pleura.
Il fut emporté par des vertige puis s’évanouit.
Lun 5 Fév - 23:08
