L'espérance fait faire des exploits...

La porte de la salle du trône explosa dans un grand fracas, l'homme en armure noire se lève, le visage déformé par la rage, l'elfe en armure blanche rencontre a nouveau son ennemi depuis tant d'années...

- Je savais que tu viendrais, Arkzan, j'ai senti ta présence, tu es le dernier dragonnier avec cette autre personne qui se nomme Eragon..., je vais malheureusement devoir te détruire, tu fais obstacle a mon pouvoir.
- Pourquoi??, Pourquoi Galbatorix, Pourquoi ce massacre il y a 100 ans??, nous savons tous les deux ce qui s'est passé il y a un siècle, nous sommes les deux derniers participants de cette grande bataille, Brom est mort il y a quelques mois...
- Brom... Il aurait pu être un grand dragonnier... Dommage que les Razacs soient efficaces...
- Je serais plus efficaces qu'eux!! Aujourd'hui peut être que tu ne mourras pas, mais je te ferais payer toutes tes actions passées, la mort de Vrael, d'Arlonis, d'Okidron, de Darn, de Nerlok, et celle de tous les Anciens!
- il le fallait si je voulais construire mon Empire, ils étaient trop vieux et ne valaient plus rien...
- Ils valaient plus que toi!
- Réfléchis Arkzan, nous étions de bons amis dans le temps, nous avons combattu ensemble contre les Urgals, joins toi à moi, tu seras mon second et tu n'auras à répondre de tes actes qu'à moi...
- Crois tu vraiment que je vais me joindre à toi, je me suis porter volontaire pour te secourir lorsque ton premier dragon est mort, si nous avions su, nous t'aurions laissé pourrir!
- Ne parle pas de Lenora!!!!
- C'est à cause d'elle que est ce que tu es devenu, renonce à cette folie, Galbatorix, trop de gens te haisse, reviens du bon côté!
- Tais toi!!!!

La boule de feu frappa Arkzan de plein fouet, il s'écrasa contre le mur, Irion chargea, il rencontra Shruikan, le choc fut titanesque, plusieurs tonnes de muscles d'écailles et de crocs entrèrent en contact, la magie ancestrale enfouie dans leurs corps démesurés jaillie, la salle du trône est pulvérisé, les deux dragons montent en flèches pour livrer un combat qui restera dans les annales...
Arkzan se relève, il lève son épée vers le ciel, trois éclairs la frappent.

- Arlonis, donne moi la force, murmura-t-il.

Les éclairs jaillissent Galbatorix est frappé de plein fouet et chute le long des murailles du palais, Arkzan sauta à sa " poursuite ", le sol se rapprochait de plus en plus lorsqu'ils entrèrent en contact, ils tombèrent dans la rue principal d'Uru Baen, un cratère se creusa sous la puissance de l'impact, les deux combattants se relevèrent, les épées jaillirent et se rencontrèrent, les étincelles fusèrent des lames, c'était grandiose...
Galbatorix envoya un éclair d'énergie noire vers Arkzan, celui-ci para mais la puissance du choc lui arracha son épée, l'éclair se dirigea vers lui, il leva la main et lança son propre éclair, les deux traits d'énergie se rencontrèrent dans un bruit si aigu que seul les dragons l'entendirent...
Aucun des deux combattants ne faiblissaient dans sa magie, les deux éclairs se rapprochaient tantôt d'un des combattants tantôt de l'autre... et il se passa quelque chose qu'il ne s'était jamais passer dans toute l'histoire de la magie... Les éclairs se mélangèrent devant un seul et même éclair de couleur or, Arkzan et Galbatorix se regardèrent, la surprise et l'incompréhension se mélaient dans leurs yeux, Arkzan réagit en premier, étant un elfe, il avait un temps de compréhension plus rapide que les hommes, donc plus rapide que Galbatorix, il dirigea l'éclair vers la jambe de Galbatorix, celui-ci cria lorsque l'énergie lui dévora son armure et la peau de son membre, il tomba pour retrouver l'épée d'Arkzan sous son cou, Arkzan leva Zon'ir et s'apprêta à frapper lorsqu'il vit une lueur dans les yeux de son adversaire, une supplique, un repentir, qu'Arkzan crut sincère, ce qui lui coûta la vie, il abaissa son épée et sentit à peine le couteau se planter dans son coeur...
Il tomba et se retrouva sur le dos dans la boue du cratère.

- Traître, dit-il à Galbatorix entre deux hoquets de douleur, j'ai eu tort d'abaisser mon épée, tu ne mérites pas de vivre!!

C'est alors qu'Irion, mourrant lui aussi s'empara d'arkzan entre ses griffes pour l'éloigner du Félon, ils se posèrent sur une colline loin d'Uru Baen, et ils se parlèrent, longuement, pendant plus d'une heure de souffrance, puis la magie quitta leurs corps, suivie presque aussitôt par la vie, ils s'éteignirent, le tout dernier représentant de l'ancienne Confrérie s'endormit dans un sommeil éternel, son dragon lové autour de lui, et comme pour que personne ne puisse profaner et piler leurs " tombes ", leurs corps disparurent, leurs esprits rejoignirent la Crypte des Ames, ou Arlonis et Deilon les attendaient devant l'entrée de pierre.

- Tu t'est bien battu...
- Je t'avais dit que je viendrais et que désormais nous aurions l'éternité pour parler...
- Et bien rentre, beaucoup de personne veulent te revoir, Arkzan regarda une ultime fois Dorù Areaba, l'endroit où il avaient passer toute sa vie et s'engouffra dans les profondeurs de la Crypte...

je supprime la pollution... et je mets ma réponse...

NON!!!
Eragfon ne pouvait y croire, un de ses espions lui avait fait un rapport et... Non il s'était trompé de personne. Arkzan était trop prudent pour aller de son propre chef vers Galbatorix. A moins que leurs chemins se soient croisés.. Non, il y avait une erreur, Galbatorix tuait tant que l'espion avait cru voir le visage d'un ami à lui et il ne s'en était pas remis. Ainsi il avait inventé que c'était Arkzan. Oui c'était ça. Comment celui qui a battu un nécromant pouvait mourir ausi bêtement que ça? Il en rit jaune. Il remit ses idées au clair et sonda l'esprit de l'espion... Là il vit la scène. Il ne vit pas les figure mais la magie qui était utilisée était bien celle d'un dragonnier... Et le dragon...Une larme lui tomba de l'oeuil et s'écrasa lourdement à terre. il tomba dessus à genoux et empoigna la terre, inconsolable et empli de rage...

...et voilà la mienne. XD

Aryashurtugal se baladait dans le Du WEldenvarden comme à son habitude. Elle sentit en elle un chamboulement énorme. La perte d'un dragonnier elfe. Elle ne voulait pas le croire. Mais elle le savait dans ses os. Akiro poussa un grand cri. Elle monta sur son dos et s'envola en direction de Uru'Baen. Elle mit une journée pour y arriver. Elle découvrit sur une colline le corps d'Arkzan et de son dragon Irion. Akiro fut secoué de voir un dragon mort. Aryashurtugal hurla une malédiction vers Uru'Baen pêndant qu'Akiro rugit dans la même direction :

Galbatorix je te hais ! Je te trouverais et te tuerais pour ce que tu as fais-là !

Elle prit une pierre et grava avec son poignard :

Ci-gît Irion et Arkzan,
les plus grands dragon
et dragonnier de tout les temps.

Elle chanta un chant court de son invention pour louer les morts :

O toi qui a failliot vaincre le fléau,
Nous libérer du traître,
Dors en paix dans la Crypte,
Celle des Ames Pures.

Sois tranquil,
Nous te vengerons,
Car nous dragonnier,
Sommes tous frères.

A la fin, elle avait les larmes aux yeux. Elle s'assit à quelques mètres du corps et y resta sept jours et sept nuits attendant la venue des autres dragonniers...

Arkzan était déjà rentré dans la Crypte, en tant que vivant... Mais étant mort, de nouvelles perceptions s'offraient à lui, il voyait des choses invisibles pour les yeux vivants, notamment une grande et magnifique porte qui donnait sur l'Au-Dela, et le plus spectaculaire, ce fut le nombre de gens qu'Arkzan vit avant cette porte, Arlonis lui expliqua que les dragonniers ne pouvaient pas passer par cette porta, qu'elle était reservée aux gens " normaux ", et Arkzan remarqua alors que toutes les personnes avaient à leurs côté un dragon, tous gigantesques et tous magnifiques, et alors il vit leurs visages...

Vrael, Okidron, Zerin, Nerlok, Brom, Kiren, Galien, et le plus bizzare, c'était que on voyait aussi Oromis le Sage, qui pourtant n'était pas mort, il ressemblait à un fantôme parmis les fantômes...

- C'est à cause de sa maladie, lui expliqua Arlonis, il n'est pas encore ici, mais il y arrive progressivement, il est plus visible chaque jour, un jour il deviendra visible totalement, et à ce moment la, il sera mort...

- Arkzan...

Arkzan se retourna, pour faire face à Eragon le Premier.

- Je suis ravi de te revoir, mon frère, tu est entré au Panthéon des plus grand dragonnier, regarde.

Il montra du doigt une salle, Arkzan y pénétra, et ce qu'il vit le remplit de respect et d'une joie triste, face à lui ce tenait une centaine de gigantesque statues, toute représentante les dragonniers les plus importants de l'histoire, et il vit sa statue, aussi haute et belle que les autres, Irion derrière lui.

- C'est un grand honneur de figurer dans cette salle...
- Tout l'honneur est pour nous...

A moi maintenant....

Irnstad avait tuer 4 gardes sans pitier pour pardonner le mort d'un varden qu'il connaissait...
Il tua le dernier avec beaucoup de haine et de force...Le sang gicla sur son visage et il rit.Il riait de voir la mort.Mais il se mit a pleurer.Il pleura durant des heures.Il prit un dague,la mit sur son poignet et traca une croix sur son bras a présent en sang..

Puisse ce sang soulager la mort d'un dragonnier...,murmura t-il.


L'assassin se releva brusquement et se remit a la recherche de gardes sous els ordres du tyran d'Alagaesia,pour assouplir sa vengeance et cella d'Arkzan...

C'était une grande perte pour la liberté,une perte pour l'avenir...

a mon tour



Oromiss vit le soleil se coucher,le ciel,à la couleur d'ordinaire orangé,avait pris une teinte rouge.Le dragonnier devina qu'il s'était passé quelque chose,il ne savait pas encore quoi,il ne savait pas non plus quelle sang avait coulé.
Il monta alors sur Sthorn'edr et vola ou son instinct le portait.
Ils arrivèrent alors au dessus de la crypte.Le dragon commença à descendre lentement.On voyait par terre plein de fleur bleu ayant fané depuis un certain temps.Oromiss devinait la mort d'un des sieins.Il remonta alors sur Sthorn'edr et vola où l'instinct du dragon le portait.Ils arrivèrent à Uru'Baen.Ils attèrirent sur une colline à coté de la ville.Oromiss descendit du dragon d'Or et avança vers un corps qu'il avait déjà vus,il s'en approcha et hurla furieux contre le Tyran,des malédicitions,des mise à mort.Il hurlait qu'il allait se venger.
Le corps d'Arkzan était pas mal ammoché.
Un combat furieus avait dût avoir lieu.Il vit à coté une pierre où on pouvait lire ce-ci:

Ci-gît Irion et Arkzan,
les plus grands dragon
et dragonnier de tout les temps.

Oromiss vit arya,voulut la consolermais ne trouvais les mots pour cela.
Il prit alors une feuille et commença à écrire un chant.Un chant qui avait pour but de ne pas oublier le grand dragonnier.Un chant qui devait traversé les âges.Un chant pour se rappeler des grand dragonniers qui ont combattus le Tyran et qui se sont scrifié pour une chose.La Liberté.
La plume commença à gratter le parchemin.

Ô toi,arkzan,grand dragonnier,
et ton dragon Irion,
toi qui t'es sacrifié,et qui à voulu nous libérer,
du traitre et félon,au grand dragon,
noir comme les désepoir.

Ô toi,qui a donné ta vie,
pour prouvé que l'espoir,
est à notre porté.

Toi,qui avec le temps,
avait appris la patience,
avait appris que la chance,
devait toujours tourner;

Tu pensait,
sans arrêt,
à ton salut,
à la gloire,
et ta vie.

Tu fesait le bien,
haïssait le mal,
qu'on soit un humain,
ou un animal,
tu nous défendais,
au risque d'y laissait,
ton âme et ta vie.

Je dédie cette chanson,
au plus grand dragonnier et au plus grand dragon,
qui ce sont sacrifié pour la liberté.

Nous devons le respecté,
et ne jamais baffoué,
la mémoire et le nom
d'un dragon et de son dragonnier...

Oromiss rangea le papier et la plume,et s'asseyat,sans rien dire,laissant glissé une larme le long de sa joue.Il repensa alors à toute les actions du dragonnier.
Il resta à coté d'arya en attendant la venu des autres dragonniers...

Les deux cadavres disparurent, et l'écho du cri d'Arkzan arriva sur la colline, l'herbe ondula sous les deux dragonniers, les oiseaux s'envolèrent dans un désordre précipité.

Il était revenu, il entendit la chanson d'Oromiss et son coeur se remplit de fierté et de compassion, il se posa sur la colline, son passage dans la Crypte faisant brillé la lumière dans ses yeux, et les regarda et leur sourit.

Je suis revenu...