recrutement, taverne et magie [libre]

Quelques minutes plus tard, un homme entra. Il était jeune, une vingtaine d'années à vue de nez et portait une étrange cicatrice sur son torse qu'il avait tenté de cacher derrière sa veste en vain. Il ne semblait pas connaître les lieux puisqu'il regardait de droite à gauche. Quelques regards parmis les habitués se posaient sur lui. Il avançait sans se péoccuper des personnes présentes puis il vu un homme, un peu à l'écart dans la salle qui semblait lui aussi étranger à cette taverne. Il demanda au gérant s'il vendait quelques pièces de viandes puis commenda un pinte. Les regards se désintéressaient tandis que celui du mystérieux inconnu s'intensifiait.
Le nouvel arrivant fût interpellé par un client apparmment opposé à sa présence.

-Tu n'as rien à faire ici gringalet. Pars sur le champ avant que je ne te fasses amèrement regretter ta venue ici.
-Pourquoi donc devrais-je partir ? Je suis ici par ma seule et unique volonté et repartirai sous peu.
-Je ne me répéterai pas.
-Je ne cherche pas les ennuis et je suis d'ailleurs attendu. Ce ne sera pas long.

Le fou furieux entama une attaque que le jeune homme parat pour ainsi maintenir son agresseur au sol, légèrement sonné. Il le laissa puis s'approcha du second étranger. Il prit place à ses côtés et lui parla d'une voix basse.

-Je vous ai vu à mon entrée et vous n'avez cessé de m'observer. Je vois que vous non plus n'êtes pas ici et j'aimerais connaître les raisons de votre interêt à mon égars. Je n'ai que peu de temps à vous accorder, je suis très attendu par mon frère. Il m'attend à quelques lieux d'ici dans une forêt non fréquentée.

Il resta ainsi devant cet inconnu envers qui il ressentait la possibilité d'établir des liens de confiance...

La porte s'ouvrit de nouveau. Une jeune silouhète de femme pénétra dans l'obscure taverne. Un bandeau lui cachant les oreilles et une cape faisant de même pour son corps, elle chercha une table libre. Mais c'était jour de pointe, et elle n'en vit aucune. Elle s'approcha alors d'une table occupée par un seul homme. Quand elle le vit, son visage prit une expression de surprise. "Un elfe! pensa-t-elle. C'est mon jour de chance." Elle n'avait pas reconnu celui qui l'avait accueilli parmi les sorciers rebelles...

Monsieur, puis-je m'assoir à votre table?

Après avoir quitté le repère des mages afin de retrouver son maître, Eragon, Gwen se rendit à Carvahall car elle savait de source sûre que celui-ci s’y trouvait. Elle le rechercha dans ce qui restait de Carvahall, les ruines du village étaient vides et silencieuses, à vrai dire Gwen les trouvait très peu rassurantes. A la fin d’une matinée de recherche, comprenant qu’elle avait manqué Eragon, elle fut bien contente de quitter le village et ses ruines obscures.
Elle se mit alors en quête de son maître dans les villages alentours essayant de passer inaperçue au mileu de tous les villageois, la tête cachée sous la capuche de son long manteau. A la fin d’une longue après midi de recherche l’eau lui manquait, elle décida donc d’aller se désaltérer dans une taverne.
Elle entra dans la première qu’elle croisa. Elle était bondée et tout en observant chaque personne qui s'y trouvait, elle chercha en vain une table où s'asseoir. Finalement, elle alla au comptoir et commanda tout en continuant d'observer la pièce et ses occupants du coin de l'oeil.
On lui servit sa boisson, qu'elle but lentement car elle souhaitait trouver au milieu de tous les clients une personne pouvant l'aider dans ses recherches...

[Angeluss on dit revint et pas revena ]

Eloca était au paradis. Elle était entourée d'elfes, d'amis! Elle avait enfin reconnu son chef de guilde qui l'intimidait tant, mais qu'elle trouvait fort sympathique. L'autre elfe, elle l'avait aperçu au Du Vangr Gata. A présent, elle écoutait la conversation, sans trop y faire attention. Elle buvait les paroles de ses congénères. Elle voulait être une grande magicienne, elle voulait actuer dans la guerre qui se préparer, mais n'avait pas les pouvoir pour le faire... Elle cherchait désespérément un maître de magie depuis quelques jours. Il lui en faudrait un, de toutes manières, car elle possédait un oeuf de dragon qui l'avait choisi... Mais pour l'instant, elle avait une mission, et Eragon était en train de l'expliquer...

[hj... modifie, tu ne peux pas m'avoir reconnu, j'ai caché mes oreilles! et je prends un air vieux...]

[Qui doit modifier moi ou Eloca ?]

Les deux... je suis incognito pour l'instant

C'est modifié

[ok, je supprime le tout dès qu'Eloca a modifié]

Il regarda les nouveaux arrivants et revint à la conversation initiale :
S'excuser d'une attitude brillament argumentée est une faiblesse. Or dans ces temps la faiblesse et la préface de la mort mon ami. Quand à mon nom, je ne le donne qu'à de rares personnes, il a une valeur qui ne m'apartient pas.
En passant du coq à l'âne :
Demoiselles, prenez place! ma table est ouverte à quiquonque a le temps de m'écouter et de se faire écouter...
Il resta sur ces paroles floues

Il sourit. Il ferma les yeux. Il ouvrit la bouche comme pour protester, mais il se ravisa. Il se souvint que dans une taverne, celui qui commande peu est celui qui a des secrets à cacher. AInsi, il appela donc trois pines, puis il dit aux personnes qui l'avaient rejoint :
Il y a des choses que seules la nature sait. Seule elle vous le dira. Mais cependant, il se peut qu'elle m'ait choisi comme porte parole!
Il se leva, jeta son ultime courronne et se dirigea vers la porte. Il espérait que ces gens allaient le suivre.

Si un méchant veut s'incruster, c'est le moment! il lui ssuffira de nous espionner.

Draco se leva à son tour, prit la pièce de viande qu'il avait demandé, donna quelques couronnes, puis suivit le vieil homme jusqu'à la sortie et lui confia :
-Je suis très inquiet pour mon frère, je me suis absenté trop longtemps. je souhaiterait avant tout aller le voir et ainsi vous le présenter. Il n'y a qu'une seule chose que je vous demanderais, c'est de ne pas être impressionné en le voyant. Vous comprendrez une fois là-bas.
Il semblait très préoccupé et repris son calme en voyant les deux jeunes filles sortir à leur tour.


Une réponse positive saurait simplifier les choses.

[hj, biensur j'accepte, heu si vous pouviez mettre l'ecusson de la guilde dans votre signature... sinon bienvenue Oromiss!]
Eragon se tourna vers le nouveau venu, le regarda avec insistance et déclara :
Tu dois être de l'empire pour ne pas avoir peur de te dénoncer magicien! Quant à ne nous vouloir aucun mal... comment de simples paroles peuvent-elles me le certifier? tu ne nous connais m^me pas mon ami!
Il s'adressa à angeluss :
Allons le voir s'il est si impatient ton frère!

Attendais,dit Oromis, je souhaite vous acompagner.Je ne suis pas de l'Empire,je hais l'Empire et j'appartient au Du Vrang Gata.Je recherche des pairs pour en apprendre plus sur la magie.
Il avais,une fois de plus,dit tout cela en ancien language pour prouver qu'il disait la vériré.Il attendait vivement la réponse...

Je vous accompagne aussi.

Elle murmura plus bas.

Je veux apprendre la magie... s'il vous plait... aidez moi...