Vien'nör réussi finalement à entrer dans la salle des oeufs. Il regardait les quelques oeufs, brillamment entreposés. Soudain, devant un des oeufs, le plus petit, il se mit à rechercher en lui une partie de sa force pour entrer en communication avec le dragon. Il luttait sans cesse pour abattre l'énorme montagne qui séparait les deux esprits. Soudain, lorsqu'il avait cru faire une brèche dans la protection de l'esprit du dragon, il lui sembla que l'oeuf avait bougé.
Mais l'oeuf restait inerte, sans même donné un signe de vie. Il se retourna alors violamment et se dirrigea vers la porte. Lorsqu'il quittait la pièce un petit craquement se fit entendre. Et une sorte d'impulsion laissait dégagé une petite fumée dans la pièce. Il arrêta sec, dépassé par les évenements. Vien'nör se retourna et aperçu dans le milieu de la pièce, un petit animal à l'allure féroce et fière. Ses écailles scintillait dans toute la pièce. Il ressemblait tout à fait à une statue de sel.
Le petit animal, méfiant, s'approcha de Vien'nör tranquilement, sans trop oser. Vien'nör, fidèle à son habitude, avait repris sa posture passive, les bras croisé, le dos contre l'embrasure de la porte. Par contre, son attention était belle et bien présente. Les deux êtres se regardaient, obsveraient tout l'un de l'autre. Le dragon fut le premier à faire un pas devant. Vien'nör tenda la main, montra un léger signe de faiblesse, ce qui le dégoûtait au plus haut point. Par contre il laissa l'animal toucher et sentir sa main. Mais un éclair surgit. La pièce se remplit d'une lumière dense, presque opaque. Un bruit sourd, mais bref se fit entendre. Vien'nör recula vivement, abasourdi par la vive douleur qui lui enflammait la main. Il ne s'y attendait pas, mais ne laissait en aucun cas montrer sa douleur. Il serra le poing jusqu'à ce que la brulure s'estompe.
Finalement, il ouvrit la main, voyant cet éllipse qui envahissait une part de sa paume. Même si cet évenement aurait pu choquer ou émouvoir tous les hommes de l'Alagësia, Vien'nör savait que la puissance d'un dragon pouvait provoquer des effets inattendus. Il invita le dragon à se dirriger sur son bras. Le petit animal monta de peine et de misère, et les deux quittèrent la pièce. Quand, Vien'nör croisait des passant, il tachait de cacher le petit dragon de leur vue. Arrivée à la porte, il cacha le dragon dans son sac. Le garde qui avait failli l'empêcher d'entrer lui demanda :
- Tiens tiens, le fammeux dragonnier ? Ha ? Où est ton dragon ?... Ha tu n'as pas de dragon ! Haussant les épaules en guise de fausse sympathie, vraiment navré, déguerpit.
Il parti à la hâte, sachant que l'animal devait suffoquer dans le petit sac. Prenant les moindres racoins de la ville pour la quitté, il laissa une petit embrasure dans son sac de tel sorte que le dragon pu y mouvoir sa petit tête argentée. Le dragon était bien chaud, et encore humide.
Une fois sorti de la ville, le dragon se débattait pour sortir de son enveloppe. Il réussi puis courru droit devant. Vien'nör le regardait, tout en avançant rapidement de peur de croiser d'autres gens avant d'arriver dans son repère. Mais plus il avançait, plus le dragon se lamentait. Il ne s'en préccupa que lorsque le grincement fu trop stridant et qu'il n'arrivait plus à le supporter. Il pensa alors qu'il avait peut-être faim, puisqu'il a survécu des centaines, voire des milliers d'années dans son oeufs sans manger. Il sorti un petit bout de pain qu'il rompa et il lui lança un petit bout. Le dragon le dévora net et en redemanda. Une fois arrivé dans une clarière très étendue, il avait tout dévoré le pain et avait encore faim. Vien'nör s'arrêta sur le bord du boisée. Ils étaient arrivés devant une étrange maison. Enfin, on ne pouvait désigné l'abris comme une maison. C'était des bouts de bois transversales, d'une hauteur de 20 pieds, poitant vers le ciel, auquel étaient raccrochés d'autres bouts de bois. Une énorme toile de jute recouvrait le tout. À l'intérieur se cachait quelques meubles, très peu luxueux. Une chaise, un matelas, une armoire. C'était l'abris de Vien'nör.
-Voiçi ma demeure, dragon. Je te construirai un abris aussi noble que le mien, dès demain. Pour l'instant tu dormiras sous mon toit. Içi tu ne crains pas d'être observé. Mais si tu entends des bruits humains, cours te cacher. Je n'ai pas envie que les autres apprennent ton existance.
Le petit dragon regardait Vien'nör, des centaines de questions dans les yeux. Mais il restait là, regardant son nouveau maître.
Mar 17 Avr - 16:26