Poemes de Braelia

Cher ami

Cher ami d'autre fois,
Pourquoi ne me parle-tu pas?
Est-ce moi qui te laisse pantois?

Est-ce parce que tu ma vu,
Que tu ne me parle plus?
Je ne suis pas aveugle sais-tu?

Dans le dos le poignard que tu ma enfoncer,
Quand tu ma ignorer,
Colère et rage on monter.
Mais je me suis contrôlée.
Je ne t'es pas injurier,
Et je n’es pas blasphémer.

Pourquoi, pourquoi me faire souffrir ainsi,
Alors que je n'es rien fait pour ceci ?

Je ne t'es montré que mon visage.
Mais sache bien que si je te vois dans les parages,
Tu devras t’attendre à un regard plein de rage.

L’amour

L’astre lumineux de la nuit,
T’aideras à voir tes ennemis.
La douce brise qui caresse ta peau,
T’aideras à voguer sur les flots.
Le sable fin qui te réchauffe,
T’aideras à comprendre les choses.

Pourquoi cherches-tu à me rejoindre,
Si tu ne veux pas rester auprès de moi?
La vérité tu ne pourras feindre,
Juste pour que je reste auprès de toi.

L’amour est comme un gouffre sans fond,
Et comme de raison,
Nous nous y sommes tous déjà jeter,
Et nous y resterons a jamais piéger.

Je te hais,
Pour ce que tu ma fait.
Tu n’es qu’un sale ingrat,
Et tu paieras pour ca.

J’aimerais tend te faire souffrir,
Comme toi tu la fait.
J’ai pleurée sans pouvoir me retenir,
Quand tu m’as annoncée que tu me quittais.

Je me suis dit que tu n’en valais pas la peine,
Qu’il faillait que j’apprenne,
A t’oublier,
A te rejeter.

De toute façon tu ne vaux rien,
Tu n’es qu’un crétin,
Un imbécile qui ne voit que lui,
Un idiot qui ne pense qua sa vie.

Le monde

Pourquoi la vie est-elle si dure?
Je ne puis le dire.
Elle est peut-être comme un mur,
Ou peut-être bien de cire?

Qui pourrait bien le savoir,
Puisque personne de veut y croire.
Mais seul quelques exceptions on pu reconnaître,
Que le monde est un ramassis de menteurs et de traitres.

Tout le monde a déjà mentit,
Quand nous étions tous petits,
Mais nous avons appris,
Qu’il faut mentir dans la vie.

La traitrise aussi,
Fait partit de notre vie.
Mentir, trahir et tuer,
Tout le monde la déjà expérimenter.

Ne serais-ce qu’une souris, un moustique, une araignée,
Nous en avons tous déjà écrasé,
Et nous allons continuer,
Jusqu’à ce que la vie nous ai quitter.