Périple de Lamedore jusqu'aux Montagnes Du Beor [fermé]

Six mois de vagabondage, de chasse, et de cavalle.
Au bout de ces six mois, les gros bonets du villages qu'il avait fuit avait finalement organisé une battue.
On l'avcait finalement repéré dans cette forêt en bordure du lac Füdosten.
Les habitants de Furnost ne lui en voulaient pas réellement mais les notables de cette ville pouvaient faire changer d'avis n'importe qui...même le plus juste des villageois.
Lamedore ne voulait plus causer de problèmes à sa famille d'adoption ni aux habitants qui l'avaient en fait acceuillient à bras ouverts...
Lamedore quitta la forêt en jurant de ne jamais revenir dans ce village.

Lamedore marcah toujours plus loin vers l'Est. Il visait un pic rocheux perdu dans le désert qu'il avait repéré de loin.


Trois jours déjà qu'il avait atteint cette montagne solitaire... Il n'a trouvait rien pour subsister. Ses réserves, emportées de la forêt en bordure de Füdosten, s'amenuisaient chaques jours. Il devait partir et de toutes façons la chaleur en ce lieu était insoutenable. Son corps était couvert de coups de soleil.

Il erra vers des sommets qu'il avait crut appercevoir du haut de cette montagne. Il perdit connaissance quatres jours plus tard alors que le désert lui montrait la fin de son étendue...


Lamedore se sentit balotait. Ses sens revinrent au fur et à mesure et il sentit son corp brulé par le soleil heurter un sol dur et surtout frai. La différence de température entre son corp carbonisé et le sol glacial emplifia la douleur et il perdit de nouveau connaissance.

Lorsqu'il se réveilla son corp toujours brulé le faisait souffrir. Ses mains étaient attachées dans son dos ainsi que ses pieds. La position combinée aux coups de soleil était des plus inconfortables.
Il avait soif, très soif. Il hésita puis gémit pour quémender de l'eau.
Un drap bougeat devant ses yeux et un homme entra par l'ouvertur lumineuse. Ses yeux étaient embué et il ne distinguait rien.On lui renversa un seau d'eau sur la tête.
-Ça te va l'écrevisse?
Des gloussement parvinrent de toutes parts et on fit entrer une femme. Lamedore distingua des cliquetits de métal à son entrée.
-Alyane. Tu vas t'occuper de l'écrevisse. Veille à ce qu'il soit vendable dans trois semaines.

Lamedore compris qu'il avait était trouvé par des marcahnds d'esclave et que la femme qui le touchiat si délicatement était elle aussi une esclave, tout comme lui à présent.

Après une semaine il pouvait de nouveau bouger. Ses coups de soleil laissaient sur sa peau se détacher les lambeaus. Son corp était maintenat d'un rose vif et les marchands l'avait renomé "crevette".
L'esclave s'occupait toujours de lui et il s'y était lié d'amitié.
Il conversait souvent pendant qu'elle lui appliquait des pomades réhydratante. Lamedore avait découvert en écoutant que le campement se trouvait à proximité d'une rivière. Il était attaché maintenant à un pieu, planté dans le sol au milieu d'une tente, par une corde. Les jambes d'Alyane étaient entravées par une chaine de fer.
Lamedore apprit qu'ils allaient être vendus dans trois semaine dans une ville plus à l'Ouest. Lamedore ne voulait pas retourné d'où il venait. Il entreprit de s'évader mais il ne laisserait pas son amie ici. Après une semaine il avait apprit où se trouvait ses armes et comptait bien les récupérer. Un soir il brisa une jarre. Il se fit rosser pour cela mais il réussit à subtiliser un éclat de poterie. Après deux jours il avait enfin sectionné la corde. La nuit venue, Alyane vint lui appliquer la pomade et il lui fit par de son plan. Elle ne voulut rien entendre au début mais au file des promesses de son seul ami elle accepta enfin de le suivre. Seul un marchand montait la garde au coin du feu. Lamedore l'étrangla dans le feutré avec la corde qui l'avait retenue tout ce temps. Il récupéra ses armes dans une tente et il commencèrent à remonter le fleuve. les chaines d'Alyane les retardait beaucoup mais faisaient aussi beaucoup de bruit et l'alerte ne tarda pas a être donnée. Lamedore ne voulait pas laisser son amie mais elle le suplia de la laisser là et de continuer sa route sans elle et elle l'embrassa avant de le pousser dans la rivière. Il traversa rapidement contre le courant et de l'autre côté il put voir les marchant ratrapper et tabasser Alyane.
-Alyane! Je te retrouverai. Où qu'il temmène, où que tu sois acheté. Je jure que je te retrouverai. cria-t-il en voyant les marchands la trainer jusqu'au campement.

Lamedore resta là à la regarder un moment et fut tiré de ses rêveries par une flèche qui lui entailla la joue.
Il dût s'abriter d'une volée de flèches et pendant plusieurs jours suivant l'évasion les marchands retrouvèrent régulièrement leurs compagnons tué d'une flèche dans le corp un à un jusuq'à ce qu'ils partent pour la ville pour vendre Alyane et les autres esclaves.

Lamdore ne pouvaient pas les suivre sans se faire repérer alros il dût se résigner à abandonner son amie, son amour pour le moment. Jusqu'à ce qu'il est l'age et la force de la délivrer...