Le rassemblement...

Draco ayant écouté Arkzan proposa :

-Pourrais-je alors vous accompagner ? Il n'est pas prudent de se retrouver seul en ce moment avec la menace du nécromancien. Celà pourrai aussi me servir à moi et Pelko. Cette expérience enrichira ses connaissances et peut-être en apprendrons-nous en plus sur les raisons des attaques que j'ai subit par le passé.

- je suis d'accord, en tant que dragonniers, nous devons nous entrainer et les âmes des Anciens dragonniers doivent nous communiquer des secrets réservés à nos semblables, nous partons demain à l'aube, la Crypte des Ames est loin, elle situe au coeur de Dorù Areaba, la forteresse où j'ai " grandi ", emportez le moins de bagage possible, la où nous nous rendosn tout fardeau est superflue...


[HRP] tu crée le nouveau rtg? [HRP]

Arkzan et Draco était déjà parti, et les autres devaient les rejoindre après. Eloca préparait ses affaires et était sur le point de partir, quand une idée la traversa. Elle sortit de sa chambre et courut voir Oromis.
Elle frappa à la porte, et attendit que le dragonnier lui réponde.

Alors,combien de personne peut-tu en transporter?
Je en peut transporter 3 à 4 (pour le moment),répondit Sthorn'edr.
Nous sommes 4 (je crois),sa devrais aller.
Mais demandons au autre si ils ont des dragons.

Très bien.

Un serviteur passait par là... comme par hasard. Eloca grimaça, elle détestait l'esclavage, mais fit signe au jeune homme. Celui-ci approcha, curieux mais avec un peu de peur.

Convoque les autres membres de notre mission. Nous nous réunirons dans une demi-heure dans le grand salon du rez-de-chaussée.
Oui, Madame.

Une demi-heure plus tard, Eloca et Oromis étaient assis dans le grand salon, en train d'attendre les autres membres de l'expédition...

Oromis et Eloca attendait depuis plusieurs jours les autres membres de l'expédition, et personne n'était venu.

Oromis, il me semble que nous devrons partir seuls. Mon dragon a éclos, mais il n'est pas assez grand pour me porter. Par contre, il sait voler, mais peut-être pas aussi vite que ton dragon...

/hrp Vous ne devriez pas partir car la quète n'est censée ne conserner que Arkzan et moi. Annulez votre départ et rétablissez l'ordre dans le camp (deux dragonniers qui disparaissent, ça créé des tensions) . /hrp

[HRP] Oui c'est pour cela que je ne répondais pas désolée [HRP]

[HRP]Oh désolée, je n'avais pas compris.[/HRP]

Hé bien, Oromis, je te parle! Il faut que l'on rejoigne notre maître et Draco! Oromis, tu m'écoute?

Oromis n'avait pas bougé, il ne semblait pas écouter Eloca, ne pas vouloir l'écouter.

Tu as un problème? Oh... tu ne veux rien dire, tanpis.

Eloca retourna dans sa chambre et claqua la porte, furieuse de ne pas être écoutée par son ami.

Grpffff... Il m'énerve!
Calme toi Eloca.
Facile à dire, Sans Nom!

Ainsi appelait-elle son dragon, jusqu'à ce qu'elle aurait trouvé son nom.

Tu ne sais même pas ce qui m'arrive!
Si, je sais tout.
C'est ça, fait l'intelligent. Tu n'as que quelques jours!
Très bien, je vais te laisser tranquille... tu n'es pas sympa quand tu es fachée...
Oui c'est ça, ferme ton esprit!

Ces dernières paroles ne furent pas entendues par le dragon, qui avait déjà établi ses barrières.

Eloca s'était endormie. Elle dormait du sommeil profond des humains. Cela était rare, mais elle le faisait souvent quand elle était triste. Soudain une pensée s'introduit dans ses rèves, qui n'était pas une pensée sienne, mais qui lui était tout de même familière. Elle résista tant qu'elle put dans son sommeil, mais n'y parvint pas.

... Eloca! ...

Elle se risqua.

Sans Nom?
Oui grosse bêtasse.

Elle ne ignora l'insulte.

Que veux tu?
Réveille toi, tu crois pas que ce sera plus facile pour parler?

L'elfe se demanda pourquoi elle n'y avait pas pensé. Elle se réveilla.

Si tu as abaissé tes défenses et tu m'as réveillée, ce n'est pas pour rien. Que se passe-t-il?
Eragon vous appelle.
Pfff... bon, j'y vais, j'y vais!

Elle se leva rapidement, s'habilla et sortit en courant, son dragon à ses trousses. Elle pénétra dans la tente d'Eragon...

Je suis là!

/hrp Nous allons revenir sous peu en apportant quelques élements nouveaux ^^ a bientot /hrp

L'extèrieur du camp semblait désert lorsque draco et le grand dragonnier arrivèrent, avec Arkzan, souffrant de blessures multiples. Ils avaient pressés le pas pour éviter à Arkzan de souffrir. Les trois compagnons arrivèrentà l'entrée du camp et vit Oromiss entrer dans la tente d'Eragon. Draco courru vers la tente de l'elfe et entra brutalement...

- Venez vite ! Arkzan a été blessé, il nous faut de l'aide !

Les personnes présentes restaient ahuries et il leur fallut plusieurs secondes pour réagir. Tous sortirent et péparèrent une tente pour recevoir le blessé. Pendant plusieurs heures, Arkzan se faisait soigner pendant qu'Irion, Draco et le dragonnier veillaient à ses cotés, les autres, attendant à l'extèrieur par faute de place et par une présence limitée aux seules personnes présentes pendant la quète...

Arkzan se réveilla en sursaut, au milieu d'un groupe de personnes aux visages flous, plusieurs personnes se penchèrent vers lui, pour le rassurer, il commença à reconnaitre leurs visages, Oromis, Eloca, Gwen, Draco, Eragon et... Arlonis, Arlonis, il mit quelque secondes pour se rappeler son nom et tout ce qu'il avait fait ensemble durant 200 années...

- Bienvenu à la maison, petit frère, dit Arlonis en souriant, une larme de bonheur roulant sur sa joue.

- Arlonis, cria Arkzan en se jetant dans ses bras, il se mit à pleurer, ne pouvant retenir se larmes de bonheur

- Oh, Oh, du calme, je sais que je t'ai manqué mais à ce point, dit Arlonis en souriant.

- On a des problèmes, dit simplement Arkzan.

- Je sais, Nimkarr...

- Oui, il assemble...

- Une armée, je sais, dit Arlonis en souriant, les journaux sont très précis dans la Crypte...

Ils se regardèrent et éclatèrent de rire.

Eloca souria. Ça faisait plusieurs jours qu'elle était au chevet d'Arkzan, et le voir ainsi rire lui faisait du bien. Elle avait utilisé tous les sorts de soins qu'elle connaissait, et en avait inventé d'autres, pour que son maître aille mieux. Les soins, ça l'a connaissait. D'ailleurs, elle ne savait faire casiment que ça.

Alors Maître, ça va mieux? J'ai eu peur pour vous!

Eloca essaya de rire pour ne pas faire comprendre à son Ebrithil qu'elle avait vraiment eu très peur pour lui. Elle ne voulait pas qu'il pense qu'elle était une sentimentale qui s'attachait à n'importe qui... et pourtant...

- Nous savons où son armée se trouve, Arlonis et moi partons demain pour la bataille, si vous voulez nous aidez, ce sera en tenant à distance les Morts Vivants, faites de votre mieux, pendant que nous frappons au coeur..., mais je vous avertis, vous risquez de mourir... Tout simplement...
Arlonis sourit, la mort, il la connaissait bien...

- Je n'ai pas eu peur de mourir, dit-il simplement, et j'ai découvert que la mort n'est pas aussi terrible qu'on le croit, on y retrouve même de vieux amis, mais je ne peut pas vous en dire plus... sa gacherait la surprise, ajouta-t-il avec un sourire malicieux.

Draco regarda Arkzan...

-Nous nous sommes mutuellement protégés dans la citadelle. Je te suivrai dans toutes les batailles. Tuer les Morts Vivants nous permettra à moi et à Pelko de nous entraîner. J'accourrai au moindre appel. Je me jetterai corps et âme dans la bataille à moins que l'on veuille m'assigner autre tâche. Je profiterai du voyage pour m'exercer avec mon frère. Connaissons-nous la puissance actuelle de l'ennemi ? Arlonis, peut-être pourrez-vous établir un briefing tactique avant de nous lancer dans la bataille ?

- Comme la dernière fois que nous l'avons combattu, il n'y aura pas de tactique..., avec une telle armée, la meilleure tactique est la retraite, mais je vois dans vos yeux, un courage qui empêche cette tactique, dit-il en souriant.

- Donnez nous une chance de détruire Nimkarr, et les Morts-Vivants retourneront vivre en paix...

Une corne de brume sonna...
Arlonis et Arkzan se levèrent en même temps, et dégainèrent leurs épées, au dehors Deilon et Irion rugirent.

- C'est l'heure...

Draco sortit de la tente. Devant lui, se dressait un terrifiant spectacle. L'armée de Nimkarr semblait s'étendre jusqu'à l'horizon. Il s'approcha de pelko, puis dégaîna son épée. Il caressa Pelko pour l'encourager. Ils connaissaient tous deux leur première grande bataille...

-Tant de chemin pour mourrir ici. Je n'envisage pas cette solution. Leur volonté est peut-être grande, mais la mienne l'est encore plus. Trop de sang à déjà été versé de leur faute. Leur chemin s'arrête ici...

A peine ces mots dit, il s'avança lentement vers l'armée et se préparait à la bataille...