Le rassemblement...

Oromis alla mettre son équipement,c'est à dire:
un arc en corne d'Urgals (qui lui a été offerte par sa reine) et un carquois,une épée de dragonnier,un bouclier,un casque et une armure seul souvenir de son défunt père.
Sthorn'edr,vient!
J'arrive!
Une fois Sthorn'edr arrivé,il lui mit,avec l'aide de quelque serviteur,son armure de dragon.
Nous sommes fin prêt pour la bataille.
Oui...
Ils allèrent alors vers l'entré du campement où tout le monde commençais à s'agité,ils se mirent à aider ,du mieux qu'ils le pouvait, les soldats et leur amis...

Arkzan et Arlonis enfourchèrent Deilon et Irion, Arkzan allait s'avancer lorsque Arlonis l'appela.

- As-tu renoncé aux anciennes coutumes?, demanda-t-il amusé.

- Cela fait cent ans que je ne l'ai pas fait, j'ai été froid les premières années après votre dispartion...

- Je comprends..., il est temps de recommencer.

Ils levèrent leurs épées dans un mouvement parfait et les pointèrent vers le ciel qui se couvrait de nuages noirs, ils se mirent à parler d'une voix forte en Ancien Language, une phrase tellement complexe qu'elle dura cinq minutes...

Lorsqu'ils eurent fini, deux éclairs dorés vinrent frappés leurs épées, une aura de pouvoir les entoura, il brillèrent de puissance.

Irion se cabra et Deilon rugit.

Ils s'envolèrent et retombèrent deavtn la masse des magiciens morts, un d'eux leva la main, un traits de lumière rouge fila vers Arkzan, son aura l'arrêta net, le magicien regarda Arkzan l'air incrédule, Arkzan répliqua, un bloc de pierre se détacha du sol, l'anneau de Terre flamboyant au doigt d'Arkzan, celui ci baissa la main, le bloc se fraccassa sur le sol, emportant six magiciens dans le néant...

Arlonis descendit du dos de Deilon et chargea, il sauta et atterrit dans le groupe compacte que formait la première ligne des Morts Vivants, il frappa de son épée avec la finesse qui caractérisait les dragonniers, maislui, il était à part, en tant que Maitre d'arme de Dorù Areaba, il était considéré comme le meilleur dragonnier en combat singulier...

Une silhouette se dessina sur un éperon rocheux.

Nimkarr...

Arkzan et Arlonis se concertèrent du regard, il enfourchèrent Deilon et Irion et décollèrent, filant vers leurs destin...

un bouclier. C'était la spécialité d'eragon. Mais comment? Il chercha l'optimum de cette situation. Il chercha à économiser l'énergie. Il chercha qui en aurait besoin.
Protéger arkzan était entouré d'une aura trop puissante pour que le bouclier ait un effet, il serait contré par la magie de son ami. Un bouclier. De quel type? Eragon ne trouva pas tout de suite une réponse. Il se posa donc une autre question : protéger de quoi? Protéger de l'adversaire se ferai par les armes offensives, c'était un fait, dans un corps à coprs de grande envergure, un bouclier était encoubrant si son bt était de protéger des attaques directes. Il réfléchit. Protéger pouvait aussi vouloir dire donner d'autres altérnatives. Il se concentra. Il imagina. Il incanta. Il créa. L'effet était invisible pour qui n'utilisait pas la magie et pour qui n'était pas un allié d'éragon. Une passerelle de secours avait été créée autour de l'aura d'arkzan. >Toute attaque magique serait détournée vers elle et partirait vers une autre cible. Aurait-il assez d'énergie pour tenir face aux maître des âme perdues?

Eloca serra la dernière boucle de son armure, puis caressa l'encolure de son dragon.

Ne vient pas, s'il te plait.
Je veux me battre!
Tu es trop jeune!
Trop jeune... tu va voir!

Le dragon s'élança dans la bataille. Il frappa les trois premiers soldats morts d'un coup de tête. Coupa en deux un quatrième avec une griffe. Arracha la tête du cinquième. Et se fit transpercer l'aile par le sixième. Eloca angoissée, le fit revenir au près d'elle. Elle prépara son sort de soin. L'aile fut vite réparée.

Viens, si tu veux, mais reste près de moi.

Elle monta sur son cheval et alla retrouver les autres qui combattaient déjà. Elle s'occupait plus des soins que d'autre chose. Mais quand il n'y avait personne blessé, elle défendait son dragon. À un moment, une flèche l'atteignit à l'épaule. Elle l'arracha d'un coup sec à la renvoya vers son expéditeur avec son arc. Celui-ci tomba sur le coup. Elle continua à se battre, malgré ses faiblesses et son bras branlebalant. Mais les morts-vivants commençait à l'encercler, elle ne voyait plus ses compagnons.

J'ai été ravie de te connaitre.
Qu'est ce que tu raconte?
À moins que quelqu'un ne se rende compte que l'on est pris au piège, nous allons mourir. Mais mourrons dignement, en combattant...

Gwen s’était vite préparée pour la bataille, peu angoissée par le fait de combattre, ce dont elle avait l’habitude depuis son enfance.
Elle enfourcha donc son cheval avec assurance et se rendit sur le champ de bataille. A son arrivée sur place, elle grimpa sur un rocher en retrait des combats, banda son arc, prit une flèche dans son carquois et tira.
Elle décocha flèche sur flèche tuant ainsi des dizaines de morts-vivants.
Après une dizaine de minutes, elle posa son arc et observa la masse noire de soldats qui s’étalait devant ses yeux : elle aperçut Arkzan et Arlonis en plein duel avec Nimkarr, puis plus loin Eragon qui semblait concentré sur un sort, et soudain elle aperçut Eloca et son dragon encerclés par plusieurs morts-vivants.
Elle ramassa son arc, sauta sur son cheval, dégaina son épée et s’élança dans la bataille afin de porter secours à son amie.
Elle arriva là-bas en quelques secondes, profitant de l’effet de surprise, elle décapita trois morts-vivants.
Son intervention avait distrait les morts-vivants ce qui permit à Eloca et à son dragon de se débarrasser de cinq autres ennemis. Les deux amies reprenaient le dessus sur leurs adversaires qui restaient cependant plus nombreux qu’elles. Tout en continuant à combattre, elle lança à Eloca :
-Vous allez bien ?

Arlonis et Arkzan atterrirent lourdement devant Nimkarr, ils dégainèrent leurs épées et s'avancèrent vers leur ennemi ancestral, celui-ci sourit.

- Bienvenu mes amis, dit-il, mon armée vous plait-elle?
- Tu as assez sévi, Nimkarr, cracha Arkzan.
- Tiens Arkzan, tu as grandi, et tu es... hum dragonnier!, impressionnant.
- Toi tu as rétréci, dit Arlonis en souriant.

Sur ses mots, Nimkarr chargea en dégainant son épée noire...

Oromis se battait comme il ne c'était jamais battu,lorsqu'il vit tout a coup un éclair qui jaillit vers lui,il prononca une phrase en ancien language et l'éclair jaune parti en dirction d'un ennemi qui allait attaqué eragon,le mort-vivant s'effondra,calcifié...

Tous les dragonniers présents s'étaient dispersés sur le champ de bataille. Draco était assez éloigné mais il pouvait les voir affronter l'armée des morts utilisant leur savoir faire et leur esprit d'équipe. Il ne pourrait les soutenir si le besoin s'en pressentait. Des sorts étaient lancés dans toute la zone. Draco avança dans la masse ennemie. Quatre morts-vivants l'encerclèrent. Il se jeta sur un premier, lui tranchant la tête, un deuxième le prît par derrière. Il l'esquiva puis effectua une rotation sur ses jambes pour entailler l'ennemi qui fût séparé en deux. Un autre profitant de son inatention se rua sur lui. Pelko le défendit et d'un coup de queue envoya l'ennemi en l'air pour finalement le taillader de ses griffes. Le quatrième attaqua Pelko mais Draco s'interposa et rentrai alors son épée dans sa chair putride. Le mort-vivant ne tomba pas, il saisit le bras de Draco et tira sa lame au plus profond de son être pour se rapprocher du dragonnier. Il le repoussa d'un coup de pied puis prononça une incantation. Le mort-vivant implosa, dispersant son corps aux quatre-vents. Draco releva la tête, il vît Arkzan, Arlonis et Nimkarr face à face. Lentement, il se rapprochai d'eux, bien qu'ils ne furent pas distants, les rejoindre prendrait du temps...

Nimkar frappa, le coup fut arrêté par Arlonis, Arkzan sauta et tomba sur Nimkarr, lui envoyant sa botte dans le visage, Nimkarr se baissa souplement et le pied d'Arkzan le frola, Arlonis utilisa la technique des Mille Coups, une technique des dragonniers, sucsité par la magie, il frappa tellement vite qu'il en devint invisible, Nimkarr para les coups en reculant, mais ne fut pas touché une seule fois, d'un seul coup, il s'envola. Arlonis et Arkzan se concertèrent du regard.

- Gaaldern, crièrent-ils en coeur.

Les familières ailes blanches poussèrent, ils s'envolèrent a la poursuite de Nimkarr, ils se combattirent dans le ciel, au bout d'un moment, nimkarr frappa Arkzan au menton avec son pied, celui-ci chuta et redressa au dernier moment, il percuta lourdement un énorme mort-vivant, celui-ci se retourna et dégaina une épée livide, et attaqua Arkzan, Arkzan para le coup et riposta, le bras du mort-vivant parti s'écraser au loin, la tête le suivit de près...

Oromis vit Arkzan s'écraser au sol,il arriva alors porté secours à son maître,il courait à toute vitesse,il enfonça sa lame dans un mort-vivant qui voulait lui barrer la route...
Il arriva alors à son maître,qui se battait contre une vingtaine de mort-vivant à la fois...
Oromis apela alors Sthorn'edr et Irion.Les deux dragons arrivèrent en même temps,et ils chargèrent tous trois les monstres.
C'était un carnage,Oromis fesait volé des tête comme il coupé des bras,Irion distribuait des coups de griffes et coupait des corps en deux,quant à Sthorn'edr,il cracha,pour la première fois,du feu,il brula une quizaine de mort-vivant...

Le gros problème de la bataille était les morts vivant... Ils étaient contrôlés par nikmar mais ils formaient autour de lui une couche opaque infranchissable et alimentée en contiu par de nouvelles âmes en perdition. Il fallait arrêter ce flot. Mais comment? déjà pris par arkzan et arlonis, nikmar arrivait à garder assez de concentration pour appeler ses serviteurs.
Il enrageait. Il fallait trouver un plan ingénieux. Audacieux. Surréel. Il appela Arkzan par l'esprit :
Quelle est la faiblesse principale des mort vivant? pour que je l'exploite sans perdre trop d'energie

- Ils sont comme des hommes normaux, mais magiciens, dit toi que tu combat un magicien, leur plus grande faiblesse résident dans le pouvoir qui les maintient en vie, si Arlonis et moi pouvons déstabiliser Nimkarr, peut être perdra-t-il le contrôle de son armée, masi je n'y compte pas, le seul moyen de les vaincre est de détruire Nimkarr....

C'est là qu'est le problème, vous avez réussi à pénétrer alors que l'armée était en extension, maintenant le front est stable ici, et je n'arrive pas à attaquer nikmar d'aussi loin. Ce qu'il nous faudrait c'est... attends, j'ai une idée. Il y a une chace infime de lui faire perdre son armée si il y a entre lui et les âmes un lien de servitude magique. Si tu préfère, c'est un flux énergétique magique que je ne peux pas voir sous ses camouflage. Tu es dragonnier, peut-être le peux-tu. ensuite il suffit de briser un lien en sa souche, cela devrai envoyer une décharge dans chque sens, vers nikmar et vers les morts vivant. Ces derniers e résisterons pas, mais j'ai peur que nikmar s'empare de l'energie de la décharge pour se revitaliser et la réinverstire dans ses sorts. au moins on aura trouvé une faille. N'oublie pas c'est une hypothèse. Je ne suis sûr de rien. Contrairement à toi je ne connais pas nikmar.

Draco pouvait entendre la conversation dans le brouhaha incessant de la bataille. Cela faisait plusieurs heures que tous se battaient férocement. Même si la plupart étaient dragonniers, on n'en ressentait pas moins une impression de fatigue toujours plus présente. Les morts-vivants tombaient encore sous les coups des dragonniers et leur nombre diminuait. La terre se mît à trembler, ses entrailles s'ouvrirent pour laisser place à de nouveaux morts-vivants mais ceux-ci étaient différents des autres. Il mesuraient deux fois leur taille normale. Draco saisit son épée mais la simple lame ne fit qu'une grossière entaille sur son épaule...
Aux bras des nouveaux arrivants, des griffes qui laissaient échapper les vapeurs toxiques d'un poison paralysant. Le jeune dragonnier ayant étudié l'Alchimie connaissait ce produit. Il récita une incantation et parla par télépathie aux alliés dispersés sur le champs de bataille...

-Prenez garde, ces morts-vivants sont complètement différents des autres. Leurs longues griffes sont imprégnées d'un poison paraysant. S'ils touchent un de vos membres, celui-ci restera inerte. Vous pourrez vous battre avec un bras, mais sans une de vos jambes vous serez vaincus. Regroupez-vous au possible et n'attaquez que la tête. Leurs corps sont particulièrment résistants.

Il appela Pelko et tentait son approche vers Eragon tout en résistant aux assauts interminables des morts-vivants...

Comme le topic n'a plus de participants je le clos par ce message, si vous voulez en refaire un allez dans discutions et demandez après des partenaires.

Dragonniers, magiciens, et simples soldats s'actriver à tuer les demi morts avant qu'ils ne les tuent. Arkzan combattait nikmar aux cotés de son ancien maître. Eragon les aidait du mieux qu'il pouvait. Angeluss créaient des faillent par ci parlà dans l'armée adverse. La seule chance de victoire pour leur groupe était l'idée d'éragon... De là Arkzan concentra son énergie sur l'aura de Nikmar. Puis dans un état de méditation profonde il découvrit un mince filet d'énergie qui allait vers un groupe de damnés. Il y mit toute sa volonté et il rendit visible pour toute personne capable d'utiliser la magie ce lien éphémère et puissant. de là Eragon contacta Angeluss et à deux ils créèrent un barage énergétique dans ce lien, puis le firent exploser. la détonation tua le groupe d'âmes et fit tituber Nikmar. Arkzan et son maître en profitèrent pour le ruer de coup et enfin le blesser gravement. Nikmar prit la voix de la retraite. Ses macabres alliers avec lui... Plus rien ne pouvait arriver. dans un dernier éclas il ordonna aux morts vivant d'attaquer puis il prit définitimement le chemuin de la retraite. Arkzan, son ancien maître, Eragon, Angeluss et Draco s'allièrent et lancèrent un sort très puissant qui finnit d'achever Nikmar. Seul l'odeur témoignait de la bataille désormais. Les vivants s'écroulèrent de fatigue au milieu des morts. Leur someil fut agité

La bataille terminée, Arlonis s'approcha d'Arkzan, il lui sourit.

- Bien joué, petit frère.Il s'écroula lourdement sur le sol en toussant, du sang perla au coin de ses lèvres.

- Non, non, tu ne pas mourir, dit Arkzan, les yeux brillants.
- Je suis déjà mort, dit Arlonis avec un sourire, il est temps pour moi de redisparaitre...
- Non, je ne veu pas!
- Tu n'y peu rien, dit Arlonis fermement, laisse moi m'en aller, que je fasse le récit de tes exploits à nos Amis.
- On se reverra, dit Arkzan tout bas.
- je te le promet, dit Arlonis.

Il ferma les yeux et exala son dernier soupir, Deilon s'approcha d'Arkzan.

- Au revoir, Ami.
- Je te reverrai aussi, dit Arkzan en carressant son cou doucement.
- Tache de profiter de la vie, mais une fois dans la mort, nous aurons l'éternité pour nous amuser...
- Attendez moi à la Crypte, et je viendrai, de mon plein gré ou non.
- Fais renaitre l'ordre des Dragonniers, Eragon et Saphira seront vos chefs et amis, vous serez, toi et Irion, leurs seconds, lutte contre Galbatorix jusqu'à ton dernier souffle et une fois ta quête achevée, fais le bien autour de toi...
- Je ferais ainsi, mon vieil ami, dit Arkzan en serrant le cou large de Deilon contre lui.
- Nimkarr, il toussa, un nuage de fumée sortant de ses narines, il... n'est pas mort, c'est lui qui vient de nous tuer, Arlonis et moi, détruit le et débarrasse la Terre de son corps!!
- Cela sera fait.
- Adieu, mon ami.

Deilon s'approcha d'Arlonis, enroula son corps autour de lui, et mourut, digne, fier et heureux...

Une silhouette se leva au milieu des cadavres.

- Mon épée fait des dégats, n'est ce pas Arkzan?, dit Nimkarr en riant.
- La mienne aussi!!, cria Arkzan.

Il se retourna si brusquement que Nimkarr ne le vit pas, il n'eut pas le temps non plus de voir Zon'ir s'envolé à la vitesse de l'éclair et se fiché jusqu'à la garde dans son crane.

Nimkarr s'écroula, son crops consumé dans des flammes infernales...[i]

bien je lockl

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